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Gestion du stress "L'organisme"

"L'organisme" réponse au stress


La réceptivité au stress varie selon les personnes, leur environnement, leur milieu, leur passé, mais aussi leurs gènes et leur terrain biologique. Face à un événement identique, une personne peut ressentir de l’excitation ou de l'euphorie et l'autre un grand malaise. Toutefois, sur le plan physiologique, les modifications chimiques sont les mêmes : Augmentation de la pression sanguine, accélération des battements du cœur et de la respiration, afflux d'hormones vers certain organes.

Les réponses de l'organisme au stress sont multiples et ses manifestation extérieures peuvent être différentes : Afflux de sang au visage ou au contraire une pâleur du visage, sueurs, mains moites, tremblements.
D'autres symptômes comme une sensation dans la poitrine, un nœud à l'estomac peuvent se manifester, mais également des crises de tachycardiespasmophilie, et de tétanie. Si le stress est fort, des problèmes digestifs sont susceptibles d'apparaître très rapidement, diarrhées, ou constipations, anorexie, gastriques, aérophagie.
Les symptômes respiratoires tels que bronchite chronique, asthmes, mais aussi des gènes comme une baisse de l'élimination urinaire, frigidité, impuissance ou excès de libido sont quelques-uns des effets possible du stress.

Hans Selye (le père du stress) à montré l'existence de trois phases d'adaptation :

La phase d'alarme : 

C'est la réponse au stress par le combat ou la fuite. Elle se manifeste par une baisse de la température du corps et une augmentation du tonus musculaire, une accélération des battements cardiaques, une augmentation du flux sanguin, une dilatation des arthères, musculaires et une baisse du sucre dans le sang. Elle est accompagnée par la fameuse décharge d’adrénaline dont l'action, immédiate, permet la mobilisation de l'énergie.

La phase de résistance : 

Lorsque le stress est répété, l'organisme entre en phase de résistance. Des phénomènes inverses à la phase d'alarme se déroulent, soit une augmentation du volume de la sécrétion cortico-surrénale et une augmentation de l'activité.

La phase d'épuisement :
 
En cas d'agression durable ou du stress chronique, l'organisme entre en phase d'épuisement. Ce stade est caractérisé par un excès de sécrétion hormonale et un épuisement psychique et somatique. Le système nerveux n'arrive plus à réguler les mécanismes physiologiques et le corps ne peut plus reconstituer ses ressources. Arrivé à cette phase, la personne vit un stress pathogène qui va influer fortement sur son état de santé. L'épuisement des réserves énergétiques peut provoquer par exemple l'asthénie ou une usure prématurée du système cardio-vasculaire.

Hans Selye a distingué le bon stress "eustress" du mauvais stress "détresse". Le bon stress accroît les aptitudes physiques et intellectuelles, tandis que des agressions trop fréquentes entraînent un affaiblissement des mécanismes de réparation mais aussi des défaillances des systèmes digestifs, sexuels et immunitaires.
     


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